Renée Rapp Témoigne d'une Expérience Traumatisante : Agression et Abandon dans un Hôtel de Los Angeles


Renée Rapp se remémore avoir été victime d'une "drogue" et d'une agression au sein d'un établissement hôtelier à Los Angeles, suite à son abandon par un ami.


La chanteuse et actrice âgée de 24 ans a confié avoir subi des sévices sexuels après avoir été laissée seule dans un hôtel par un ancien compagnon.


Lors d'un entretien avec The Hollywood Reporter, Renée a explicité que sa composition "Snow Angel" avait été suscitée par cet assaut.


"Je suis toujours en train de rationaliser ces émotions", a-t-elle exprimé lors de cette entrevue. "Je prends conscience que cela fut une expérience extrêmement traumatisante dont je n'ai aucun souvenir. Évoquer cet épisode est déconcertant car je ne m'en rappelle pas."


La comédienne de "Sex Lives of College Girls" a déclaré avoir depuis mis un terme à son amitié avec l'individu l'ayant laissée seule à l'hôtel.


"Récemment, je me suis mise à penser : 'Attendez, ceux qui ont permis cela sont déplorables.' Récemment, j'ai pris la décision de ne plus suivre cette personne sur Instagram car elle m'a abandonnée dans un établissement pour me droguer. Qui sait ce qui aurait pu m'arriver", a-t-elle rapporté.


Renée a expliqué que cet incident s'était produit au Beverly Hilton il y a deux ans.


"Je me suis retrouvée dans les toilettes, face visible au Beverly Hilton, avec des traces de sang sur mon pantalon", a-t-elle évoqué. "Et j'ai été laissée seule à cet endroit pendant environ sept heures."


La vedette de "Mean Girls" a révélé que cette expérience avait inspiré sa performance lors de l'émission "Saturday Night Live" en janvier.


"Je me suis dit : 'Bon, quand nous serons à SNL, si je chante cette chanson, je devrai le faire de cette manière'", a-t-elle partagé avec les médias. "Je serai allongée sur un sol rouge, mimant ma condition lors de mon réveil. Le sol sous moi devra être recouvert de rouge et je devrai être vêtue de blanc intégral."


Renée a noté qu'elle avait toujours eu conscience qu'elle fréquentait un cercle peu recommandable, mais qu'elle avait trouvé des excuses à cela.


"Je le savais, mais j'ignorais à quel point, et j'ai rationalisé cela de diverses manières, mais tous mes amis étaient au courant", a-t-elle affirmé. "(Ils) me disaient : 'Qu'est-ce qui ne va pas ? Tu te rends compte que c'est un mardi soir et que tu sors ? C'est aberrant.'"